La Table des Séphiroth

Voilà une œuvre qui fera date : pour la première fois, depuis que le Sacré révèle ses mystères, la Révélation s’ouvre sur le thème des Séphiroth et en éclaire tous les aspects. L’élite intellectuelle juive pourrait en sursauter, elle qui en exalte la notion en se fiant à une aura de compréhension devenue inaccessible depuis le XVIè siècle. Mais la mémorisation sentimentale ne suffit pas : il faut réactualiser un message qui pavoise à la proue de la Connaissance hébraïque et donc au commencement de tout ce qui intéresse la Création et l’être humain. Or, aujourd’hui, rien n’est plus urgent que retrouver le sens de l’être. C’est l’atteindre de plein fouet que découvrir la Table de ces dix points énergétiques.

Quelle est l’essence des Séphiroth ? Féminine, comme le mot lui-même. Nous en sommes la localisation vivante. Alors est en cause la réalité de la vie dans sa charnalité.

Nos vies, nos destins personnels ou collectifs sont gravés au burin par La Table des Séphiroth. Encore faut-il savoir à quoi cela est dû, d’où cela vient, pourquoi et comment. Que font ces noyaux de vie à l’état pur ? Que revêtent-ils ? Comment agissent-ils, quels sont leurs champs d’action ? Où pouvons-nous les observer ? Dans l’univers, dans le cycle culturel, dans l’individu. Toutes les unités vivantes en sont pénétrées.

Il fallait une kabbaliste éprouvée, ayant déposé son Sceau de compétence pour les décrire. Eh bien c’est fait. Par un film que je vous conseille de voir… et revoir au moins dix fois. Désormais, les Séphiroth, on sait d’où elles viennent et on assiste à leur insertion théâtrale dans nos êtres. Quelle preuve de plus demander pour croire à leur réalité et à la véracité du fondement métaphysique ?